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samedi 9 novembre 2019
Un mot de fin ?
François Kowal et Julia Rodriguez avons eu plaisir à faire vivre ce blog, comme ça pour protéger ce qui nous a semblé précieux dans notre bassin d'emploi.
A l'aube de notre retraite, ce mot d'adieu à ce blog qui nous a, pendant plusieurs années, tenus en haleine pour l'avenir des BTS IPM ou CPRP du Lycée Pablo Neruda
Merci à ceux qui ont contribué
mardi 6 novembre 2018
Normadie : l'usinage industriel
Publié le 19 10 2018
Normandie : l’usinage industriel en quête de jeunes
car il y a du travail
car il y a du travail
Filière. Hier au cœur de l’usine Renault de Cléon se tenaient les premières assises de l’usinage. Un secteur qui cherche à attirer de jeunes talents.
Entretien avec Bruno Revellin-Falcoz, président du Campus des métiers.
Quel est l’objectif de ces assises ?
Bruno Revellin-Falcoz : « Au Campus des métiers et des qualifications, basé au lycée Marcel-Sembat, à Sotteville-lès-Rouen, nous voulons que s’expriment davantage les enseignants et les employeurs. Dans certains métiers, les entreprises n’arrivent pas à trouver les compétences nécessaires alors qu’elles embauchent. D’où ces Assises avec le thème de l’usinage, un des secteurs critiques en la matière ».
Qui est intéressé par cet événement ?
« L’ensemble des entreprises locales, autour de Renault. Et l’ensemble des formateurs, ainsi que les représentants du rectorat, avec l’espoir que ces personnes dialoguent, dégagent des pistes pour mieux répondre à ce besoin d’employabilité ».
En quoi consiste l’usinage industriel ?
« Il y a du travail sur la matière avec des machines dites à commandes numériques, liées aux métiers de la chaudronnerie, du soudage, dans les domaines de l’automobile, de l’aéronautique... L’usinage recouvre des tâches indispensables pour la réalisation de grands produits comme l’automobile, l’aviation... On va de simples engrenages au développement de grandes formes, à l’intégration de celles-ci. Qui dit assemblage dit préparation par usinage ».
Une certaine image négative de l’industrie est-elle encore présente ?
« Il faut faire disparaître cette image, qui date du siècle dernier. Les machines récupèrent leurs copeaux ; la lubrification s’opère dans des enceintes ou plus rien ne va à l’extérieur. On peut déjeuner par terre dans les ateliers ! »
Que dire aux jeunes, à leurs parents ?
« L’usinage est un métier noble. Qu’ils viennent voir comment ça se passe ! Il faut certes un enseignement général, mais l’enseignement professionnel est aussi important. En Allemagne, 70 % des élèves se tournent vers des filières professionnelles. C’est une des raisons pour lesquelles l’industrie allemande marche bien ».
Les formations sont-elles suffisantes, efficaces ?
« Elles font l’objet de grands débats. Nous sommes là pour traiter un sujet : les technologies font des progrès, les métiers évoluent et il faut en permanence s’adapter. Il faut améliorer la formation initiale pour qu’en entreprise, on soit vite employable avec un minimum de compléments de formation. Et puis, il y a la formation tout au long de la vie qui peut être largement profitable ».
lundi 5 novembre 2018
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