"Moins de jeunes s’orientent vers les métiers scientifiques et techniques alors même que c’est là que le taux d’emploi des diplômés est l’un des meilleurs et qu’il résiste le mieux à la crise. C’est un paradoxe symptomatique d’un certain désenchantement, révélateur d’insuffisances dans l’orientation", relève Claude Schmuck, auteure de l’étude, qui s’appuie sur plusieurs enquêtes.